Arca - Monte del Gozo
53ème jour de marche.
Arca – Monte del Gozo 16km700 le 11 juin 2006.
St Jacques 21km.
Nous partons à 7h30, un exploit, en traînant un peu la patte, c’est la der des ders, nous n’avons même pas compté les km que nous avons à faire. On ne voit personne, on est bien. Nous traversons des hameaux, des prés, des bois d’Eucalyptus, les jeunes ont le blanc, l’odium. Pietro est parti tôt, il va à Santiago, nous devons nous retrouver demain à la Cathédrale. Nous arrivons au gîte a midi, il est fermé et n’ouvre qu’à 14h. En attendant nous mangeons, nos maigres restes, car c’est dimanche et il n’y a aucun commerce d’ouvert. Le gîte est un endroit immense avec 30 blocs du style camp de concentration, il y a des chambres de 8 et nous sommes tous les 6 ensemble, sans Pietro. Dans le parc sur les hauteurs, il y a 2 statues en bronze, 2 pèlerins qui pointent leur index vers les tours de la Cathédrale de Santiago, que l’on voie au loin. Dans le ciel il y a plein de cerf-volant. On sent que nous sommes au bout du chemin, nous sommes tristes. L’après-midi se termine péniblement. C’est dimanche tout est fermé et le soir nous allons manger dans un resto minable avec un vin dégelasse, que Jean trouve bon…..
Arca – Monte del Gozo 16km700 le 11 juin 2006.
St Jacques 21km.
Nous partons à 7h30, un exploit, en traînant un peu la patte, c’est la der des ders, nous n’avons même pas compté les km que nous avons à faire. On ne voit personne, on est bien. Nous traversons des hameaux, des prés, des bois d’Eucalyptus, les jeunes ont le blanc, l’odium. Pietro est parti tôt, il va à Santiago, nous devons nous retrouver demain à la Cathédrale. Nous arrivons au gîte a midi, il est fermé et n’ouvre qu’à 14h. En attendant nous mangeons, nos maigres restes, car c’est dimanche et il n’y a aucun commerce d’ouvert. Le gîte est un endroit immense avec 30 blocs du style camp de concentration, il y a des chambres de 8 et nous sommes tous les 6 ensemble, sans Pietro. Dans le parc sur les hauteurs, il y a 2 statues en bronze, 2 pèlerins qui pointent leur index vers les tours de la Cathédrale de Santiago, que l’on voie au loin. Dans le ciel il y a plein de cerf-volant. On sent que nous sommes au bout du chemin, nous sommes tristes. L’après-midi se termine péniblement. C’est dimanche tout est fermé et le soir nous allons manger dans un resto minable avec un vin dégelasse, que Jean trouve bon…..