Miradoux - Marsolan...
18ème jour de marche.
Malauze – Miradoux 27km000 le 6 mai 2006.
Départ 8h, le temps est couvert, nous faisons de la route. Nous traversons Auvillar, qui est un beau village et continuons sur St Antoine, nous rentrons dans l’église, où une dame vient nous raconter l’histoire de St Antoine l’égyptien, du village des Antonins…elle est contente qu’on l’écoute et nous, ça nous fait plaisir de l’entendre…Nous mangeons là, sur un banc devant l’école, nous avons un peu de vin, volé le matin au gîte. Nous continuons, et soudain, on attrape la pluie, il faut sortir les ponchos. On fait une halte sous un hangar, où nous retrouvons le couple avec lequel on a dormi, ils ont la vraie cape de pèlerin, mais elle prend l’eau et doivent mettre les sursacs. Nous nos ponchos à 3€ et 45g, on est au sec, et ils le voient. Hier je leur ai fait une démonstration de mon duvet, et ils doivent aller l’acheter, car ils habitent Vienne. Avec eux, il y a le propriétaire du hangar, très « france profonde » on fait une photo, et on repart. Nous ne tardons pas à arriver à Miradoux, où nous sommes logé dans un hôtel très rudimentaire, le patron est un pèlerin, mais pas vraiment sympa, il ne nous demande rien, ni d’où on vient, ni où on va. Je crois qu’on aurait mieux fait d’aller chez Thérèse. Enfin, le repas est correct et on nous offre une goutte d’Armagnac…..
Malauze – Miradoux 27km000 le 6 mai 2006.
Départ 8h, le temps est couvert, nous faisons de la route. Nous traversons Auvillar, qui est un beau village et continuons sur St Antoine, nous rentrons dans l’église, où une dame vient nous raconter l’histoire de St Antoine l’égyptien, du village des Antonins…elle est contente qu’on l’écoute et nous, ça nous fait plaisir de l’entendre…Nous mangeons là, sur un banc devant l’école, nous avons un peu de vin, volé le matin au gîte. Nous continuons, et soudain, on attrape la pluie, il faut sortir les ponchos. On fait une halte sous un hangar, où nous retrouvons le couple avec lequel on a dormi, ils ont la vraie cape de pèlerin, mais elle prend l’eau et doivent mettre les sursacs. Nous nos ponchos à 3€ et 45g, on est au sec, et ils le voient. Hier je leur ai fait une démonstration de mon duvet, et ils doivent aller l’acheter, car ils habitent Vienne. Avec eux, il y a le propriétaire du hangar, très « france profonde » on fait une photo, et on repart. Nous ne tardons pas à arriver à Miradoux, où nous sommes logé dans un hôtel très rudimentaire, le patron est un pèlerin, mais pas vraiment sympa, il ne nous demande rien, ni d’où on vient, ni où on va. Je crois qu’on aurait mieux fait d’aller chez Thérèse. Enfin, le repas est correct et on nous offre une goutte d’Armagnac…..